Dans le cadre de la journée de la presse et des médias à l’école, « Par les temps qui courent » a convié plusieurs lycéens du lycée parisien Jacques Decour à co-animer l’entretien avec la metteuse en scène Lena Paugam. Aux micros ce soir, vous entendez donc, outre Marie Richeux, Carla, Léane, Pénélope, Mélodie, Sasha et Gabriel.
Dans Gisèle Halimi: un farouche liberté, les comédiennes Ariane Ascaride et Philippine Pierre Brossolette dirigées par Léna Paugam, interprètent tour à tour la figure de Gisèle Halimi portant, à travers ses mots, une enthousiasmante puissance féminine.
Un parcours et des mots sources d’inspiration
« Gisèle Halimi est une figure très importante pour le féminisme, mais qui est assez méconnue des jeunes générations. Je dois avouer que je ne la connaissais pas bien moi non plus. Quand Philippine Pierre-Brossolette m’a contactée pour ce spectacle, j’ai décidé de lire les écrits de Gisèle Halimi et notamment Une farouche liberté, l’ouvrage qui retrace ses entretiens avec Annick Cojean. J’ai été frappée par le parcours de cette femme, par ma méconnaissance de ce parcours. Les mots avec lesquels elle se raconte m’ont profondément inspirée, et j’ai eu envie de relever le défi. »